Suite à une mauvaise interprétation d’un article de presse – sur lequel nous nous étions basés – nous avons faussement attribué une citation au ministre de la Justice, Félix Braz. En effet, après consultation des sources, celui-ci n’a pas utilisé la formule “curiosité maladive” pour expliquer l’accès restrictif au registre des bénéficiaires effectifs des sociétés et autres entités juridiques.
L’ALJP s’excuse formellement de cette erreur regrettable. Cependant, notre association maintient sa critique de la décision du gouvernement à ne pas rendre publiques ces informations, à l’instar de 9 autres pays membres de l’Union européenne. D’autant plus qu’une 5e directive européenne anti-blanchiment forcant les Etats membres à plus de transparence est en train d’être négociée. Nous maintenons également notre revendication d’être impliqués au futur quand de telles décisions – qui touchent à la liberté de la presse – sont négociées.